LA PLASMONIQUE ACTIVE
Le domaine de la plasmonique est un champ d'étude scientifique et technologique vaste, avec des applications tournées vers de nombreux domaines tels que l'énergie, la nano-médecine, l'environnement, les spectroscopies exaltées, la nano-optique, les capteurs, l'art...
La Plasmonique exploite l'interaction entre la lumière et des matériaux principalement métalliques (sous forme de couches minces ou nanostructurés), à travers l'excitation de plasmons de surface localisés (à l'échelle de la particule) ou propagatif (à l'interface entre un film métallique et un diélectrique).
Cet effet est associé à une oscillation de la densité de charges en surface, qui s'accompagne d'une forte exaltation du champ électrique à proximité de la surface.
Depuis une vingtaine d'années, l'intérêt pour la plasmonique s'est accentué grâce notamment aux techniques de fabrication par lithographie (optique, électronique...) ou de synthèse chimique de plus en plus perfectionnées. La maîtrise des paramètres topographiques, souvent à l'échelle nanométrique, a permis de révéler de nouvelles propriétés optiques, mais aussi de les enrichir, en vue de satisfaire les fortes demandes en terme d'applications technologiques. Les progrès fournis dans le domaine des nanotechnologies au début du XXIe siècle ont permis de coupler des nanostructures plasmoniques à des composants inorganiques ou organiques de fonctionnalités diverses (électrique, mécanique, optique, acoustique, thermique...), ouvrant la voie à un nouveau champ d'études et d'applications appelé la « plasmonique active ». Ce concept est apparu pour la première fois en 2004 suite à des expériences sur la manipulation de la réponse de plasmon de surface propagatif par un stimulus extérieur. La transformation d'un système plasmonique vers un système plasmonique actif nécessite donc le couplage d'une structure ou d'un film métallique avec un composant actif permettant de contrôler de façon réversible la réponse de l'un ou l'autre des deux constituants.
La Plasmonique exploite l'interaction entre la lumière et des matériaux principalement métalliques (sous forme de couches minces ou nanostructurés), à travers l'excitation de plasmons de surface localisés (à l'échelle de la particule) ou propagatif (à l'interface entre un film métallique et un diélectrique).
Cet effet est associé à une oscillation de la densité de charges en surface, qui s'accompagne d'une forte exaltation du champ électrique à proximité de la surface.
Depuis une vingtaine d'années, l'intérêt pour la plasmonique s'est accentué grâce notamment aux techniques de fabrication par lithographie (optique, électronique...) ou de synthèse chimique de plus en plus perfectionnées. La maîtrise des paramètres topographiques, souvent à l'échelle nanométrique, a permis de révéler de nouvelles propriétés optiques, mais aussi de les enrichir, en vue de satisfaire les fortes demandes en terme d'applications technologiques. Les progrès fournis dans le domaine des nanotechnologies au début du XXIe siècle ont permis de coupler des nanostructures plasmoniques à des composants inorganiques ou organiques de fonctionnalités diverses (électrique, mécanique, optique, acoustique, thermique...), ouvrant la voie à un nouveau champ d'études et d'applications appelé la « plasmonique active ». Ce concept est apparu pour la première fois en 2004 suite à des expériences sur la manipulation de la réponse de plasmon de surface propagatif par un stimulus extérieur. La transformation d'un système plasmonique vers un système plasmonique actif nécessite donc le couplage d'une structure ou d'un film métallique avec un composant actif permettant de contrôler de façon réversible la réponse de l'un ou l'autre des deux constituants.
4 axes thématiques
En vue de structurer les actions et les missions du GDR et de définir plus précisément leurs contours, nous proposons de répartir les thématiques scientifiques d'intérêt pour le GDR selon les quatre axes majeurs suivants:
AXE 1 Plasmonique Accordable | AXE 2 Plasmonique et réactions chimiques | Axe 3 Plasmonique et transformations physiques | AXE 4 Vers des dispositifs plasmoniques intégrés |